Mardi de la semaine dernière (oui, déjà) avait lieu l'Iranian Evening. Même principe à priori que l'October Fest ou que la French Evening. Elle est organisée pour une fois dans la vieille maison près de l'université. Vous savez, là où s'était passée la soirée des masters students en début octobre.
Donc, maison kitch. En entrant, on s'aperçoit qu'il n'y a pas que la maison qui le soit : les iraniens, de moyenne d'âge bien plus élevée que la notre, sont tous en costume. Bon, tout de suite, cela fait moins amical et trop sérieux. Cela commence d'ailleurs par un Powerpoint de présentation de l'Iran, avec gars en costard et baguette en inox pour nous montrer les chiffres (et le Powerpoint-qui-plante-ahahah-vive-Windows). Oui, des chiffres il y avait : population, industrie... Bref, la première partie était un peu longue.
La suite fût tout de même plus intéressante avec l'architecture, l'art et la musique. Bon, après la présentation, le manger ! On a eu droit à des petits bouts de poulets et du riz aux épices. Le tout est accompagné de salade, de jus d'orange et/ou de jus de pomme. Le tout fût bien bon.
Faisons un petit tour de table. Tout d'abord, Morvan et Nathalie (non, ils ne sont pas ensemble ). D'ailleurs, vous pouvez voir nos petits écussons portant notre nom traduit en iranien :
Ensuite Nicolas et Vincent :
Une autre jolie chinoise qui mange :
Il y avait pas mal de monde quand même :
On peut voir sur la photo précédante et la suivante le vieux style de la maison :
Passons au dessert. Bon, c'est jaune. Hum hum, drôle de consistance... On nous dit que c'est du riz avec du safran. Son nom d'ailleurs, que je ne prendrai pas le risque de prononcer (d'écrire dans mon cas), veux dire "riz avec un surplus d'eau". Cela explique sa consistance et son goût je dirais. Bref, on s'est fait une assiette entre quatre avec difficulté (Vinvent à tout de même manger une assiette à lui tout seul, c'est courageux !).
Après deux cafés (ouais, faut pas se priver hein !), on nous a invité à une petite démo de piano. Bon, ça n'était pas du grand art il faut l'avouer. Cependant, je suis loin de me plaindre (si si), cela change agréablement de la techno-boum-boum que l'on entend habituellement dans les soirées.
Voilà voilà, nous sommes reparti peu après. La suite n'avait pas l'air palpitante. Voilou !
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